MON ORIENTATION

            Nom de l’établissement : Jean Baptiste Colbert de THIONVILLE

            Adresse :  impasse Colbert 57100 THIONVILLE

            Téléphone : 03 82 88 47 06

            Classe Désirée : seconde générale section S ou SMS

            Matières enseignées : Section S : Les matières principales sont les mathématiques, la physique-chimie, les sciences de la vie et de la terre. En terminale (au Lycée Colbert), pour l'option de spécialité, l'élève choisira physique-chimie ou  sciences de la vie et de la terre.

                                                Section SMS : En seconde sont dispensées les disciplines communes et l'option sciences médico-sociales apportant une première approche de la spécificité de la section. En première, les matières droit et secrétariat s'intégreront aux autres. Est également assuré, dans cette section, un important programme de sciences physiques et de biologie.

            Horaires :

Le lycée Colbert :

Plan d ‘accès :

Puéricultrice : Cette infirmière spécialisée dans les soins aux enfants veille à leur bien-être et conseille les parents en matière d'hygiène, de santé et de développement.

Le cursus scolaire pour y arriver : Pour exercer ce métier, il faut obtenir le Diplôme d'Etat de puéricultrice , qui se prépare en un an dans les écoles agréées. Mais avant de se spécialiser, il est indispensable de posséder le diplôme d'État d'infirmière, qui nécessite trois années d'études après le baccalauréat, ou celui de sage-femme (en quatre ans après le bac). Quelque 90 % des professionnelles en exercice sont infirmières. L'entrée dans les écoles de puéricultrices se fait sur concours, organisé par chaque école. Il comprend deux épreuves d'admissibilité : une épreuve écrite comportant des questions sur le programme des études d'infirmière (et plus particulièrement la pédiatrie, la natalité, la grossesse...), et des tests psychotechniques. Un oral d'admission porte sur l'étude d'une situation en rapport avec l'exercice professionnel infirmier. Les études durent douze mois et comprennent une partie pratique importante, la moitié du volume horaire étant consacrée aux stages à l'hôpital, dans les crèches, les centres de PMI... L'enseignement théorique porte sur la politique de la santé, les organisations administratives, sanitaires et sociales, le droit, la psychologie, la physiologie, la diététique...

Les conditions de travail : Les services hospitaliers (privés et publics) de pédiatrie et de néonatalogie, et les maternités emploient près de la moitié des puéricultrices. On les rencontre également dans les centres de PMI, les crèches et les haltes-garderies. Quel que soit le lieu où elle exerce, une puéricultrice travaille en équipe, en collaboration avec d'autres professionnels : personnel soignant (médecins, infirmiers...), éducateurs de jeunes enfants, auxiliaires de puériculture... À l'hôpital, les horaires sont assez contraignants (nuits, week-ends...). En PMI, les professionnelles travaillent en journée, et peuvent être amenées à se déplacer en cas d'urgence. Dans les crèches, les horaires sont réguliers, mais les journées peuvent se terminer tard, en fonction des heures d'ouverture, et les responsabilités à assumer sont lourdes.

Les débouchés actuellement et les prétentions salariales : Les salaires varient selon la fonction exercée et le type de structure. Dans la fonction publique hospitalière, le salaire mensuel brut, hors primes et indemnités, est d'environ 1 600 euros en début de carrière, et de 2 700 euros en fin de carrière. La rémunération d'une puéricultrice ayant la responsabilité d'une structure d'accueil et occupant un poste de cadre atteint 2 500 euros.